Bonjour à tous,
On se serai cru au printemps ce matin à St Galmier.
Une température agréable et pas mal de monde, on est sur la bonne voie.
Quoi de neuf?
On se serai cru au printemps ce matin à St Galmier.
Une température agréable et pas mal de monde, on est sur la bonne voie.
Quoi de neuf?
Denis a fait volé le Stinson de Jean Claude, c'est la deuxième séance de vol pour cet avion, son frère Serge avait son gros spit, des Hélicos, moto planeurs et avions avec des pilotes en phases d'apprentissages.
Et puis et puis............ j'ai sorti mon décathlon, c'est mon 1 premier avion en bois, je le trouve beauuuuuuu et il est à moiiiiiiiiiiiii.
Bon enfin, il est peut être à moi, mais c'est Philippe qui lui a fait faire le 1 er vol,
Je l'ai pris en vol, très plaisant à piloter mais chaud à poser, tiens cela me rappelle le gémini.
Je l'ai donc rendu à Philippe pour un retour sur terre et non par terre.
Bon alors c'est quoi un décathlon ?
Peu connu et même souvent méconnu, le Super Decathlon est bien plus qu’un biplace à l’allure rustique. Doté de réelles capacités de voyage, ce classique de la production américaine dispose en outre de capacités de voltige tout à fait intéressantes.
Un peu d’histoire Les origines du concept sont à chercher dans les années cinquante avec l’Aeronca Champ, l’ancêtre de la gamme actuelle. En 1959, la gamme fut étoffée avec le premier Citabria. En 1971, la gamme était produite par Bellanca et le premier Decathlon arrivait sur le marché. Il s’agit du 8-KCAB150, dénomination commerciale Decathlon.
Déjà le Citabria permettait d’effectuer des manoeuvres de voltige basique et Bellanca avait décidé de pousser encore plus loin. Ainsi, l’avion était pourvu d’un moteur avec alimentation de carburant et lubrification pour le vol inversé, même si une limitation obligeait le pilote à retourner l’avion dans sa position normale. De plus, le Lycoming IO-320 avec ses 150 cv était un peu trop faiblard pour cet avion pourtant certifié pour les manœuvres acrobatiques.
Mais la polyvalence de l’avion et des caractéristiques de vol très agréables ont tout de suite propulsé le Decathlon au top des ventes, et ce malgré le léger handicap d’un moteur léger. Avec une cinquantaine de Decathlon produit par an, l’usine marchait à plein rendement, ce qui s’explique aussi par le fait qu’un Cessna 152 Aerobat, pourtant bien moins performant, était facturé quasiment au même prix...
(source aviation international, et oui pas de fautes, donc pas à moi......)
Et puis et puis............ j'ai sorti mon décathlon, c'est mon 1 premier avion en bois, je le trouve beauuuuuuu et il est à moiiiiiiiiiiiii.
Bon enfin, il est peut être à moi, mais c'est Philippe qui lui a fait faire le 1 er vol,
Je l'ai pris en vol, très plaisant à piloter mais chaud à poser, tiens cela me rappelle le gémini.
Je l'ai donc rendu à Philippe pour un retour sur terre et non par terre.
Bon alors c'est quoi un décathlon ?
Peu connu et même souvent méconnu, le Super Decathlon est bien plus qu’un biplace à l’allure rustique. Doté de réelles capacités de voyage, ce classique de la production américaine dispose en outre de capacités de voltige tout à fait intéressantes.
Un peu d’histoire Les origines du concept sont à chercher dans les années cinquante avec l’Aeronca Champ, l’ancêtre de la gamme actuelle. En 1959, la gamme fut étoffée avec le premier Citabria. En 1971, la gamme était produite par Bellanca et le premier Decathlon arrivait sur le marché. Il s’agit du 8-KCAB150, dénomination commerciale Decathlon.
Déjà le Citabria permettait d’effectuer des manoeuvres de voltige basique et Bellanca avait décidé de pousser encore plus loin. Ainsi, l’avion était pourvu d’un moteur avec alimentation de carburant et lubrification pour le vol inversé, même si une limitation obligeait le pilote à retourner l’avion dans sa position normale. De plus, le Lycoming IO-320 avec ses 150 cv était un peu trop faiblard pour cet avion pourtant certifié pour les manœuvres acrobatiques.
Mais la polyvalence de l’avion et des caractéristiques de vol très agréables ont tout de suite propulsé le Decathlon au top des ventes, et ce malgré le léger handicap d’un moteur léger. Avec une cinquantaine de Decathlon produit par an, l’usine marchait à plein rendement, ce qui s’explique aussi par le fait qu’un Cessna 152 Aerobat, pourtant bien moins performant, était facturé quasiment au même prix...
(source aviation international, et oui pas de fautes, donc pas à moi......)
raph
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