samedi 30 octobre 2010

Repas après assemblée générale le 5 décembre


Bonjour, plusieurs personnes ont évoqué l'idée de se faire un repas à la fin de l'année avec les épouses, maîtresse, voir chat ou chien.
Pourquoi ne pas faire ce repas après la réunion annuel du club
le 5 décembre à midi ?
Dite moi ce que vous en pensé pour pouvoir valider la chose et réserver le resto ici:
rmely@free.fr

C'était le week end dernier












Bonjour à tous,
Bon courage à ceux qui vont voler ce week end (en outdoor je précise !!!).
Le week end dernier, c'était vent le samedi après midi, bon le dimanche matin et flotte l'après midi.
A noté le 1 er vol du Cap 10 (bis) d'Hubert, le superbe Junker Ju 52 de Jean Claude et le mirage de Fabien.
Bernard à crée sur sont site une page indoor avec des vidéos faite à la salle de la Colombe.
Raph

samedi 23 octobre 2010

Petite annonce et précision sur Amélia




Bonjour à tous, avec un peu de chance et de courage ont pourra voler cette après midi.
George ma demandé de passer une petite annonce, là voilas:
Suite à changement de modèle je vends:
-2 batteries Protronik 3s Li33 2200mA, moins de 8 charges les 2: 65€ (prises pk 4mm)
-3 batteries Turnigy 3s 2200mA 40/50C, moins de 3 charges les 3: 60€ (prises pk 4mm)
-1 contrôleur Scorpio 60A avec système de programmation par carte infra rouge, une
dizaine de vols: 65€
-1 moteur Dys 3530/8, kv 1700, 480w, 74 gr, axe 5mm: une dizaine de vols: 20€ "
-
Tél: 0477222754

Petite précision au sujet du Lockheed utilisé pour le film Amélia.
Si Amélia Earhart a bien disparu à bord d'un Lockheed, c'est dans un L10, et pas dans un L12 comme celui qui a été utilisé pour le tournage.
Ce L 12, vous le connaissé bien, c'est celuis de Bernard Chabbert, il nous raconte ici:
comment et pourquoi sont L12 a fini en Afrique du sud pour le tournage du film.
Bon week end Raph

mercredi 20 octobre 2010

La belle Amélia






Bonjour à tous, vous l'avez remarqué, l'hiver est en avance, dire qu'il y a 10 jours j'étais allongé dans l'herbe à regarder les avions !!!
Dimanche j'ai donc regardé le film Amélia retraçant la vie de la célèbre aviatrice.
dispo en D.V.D ou en streaming ici:
Si les accro et les pointilleux seront un peu déçu car romancé, ce film a le mérite de nous offir de belle image d'aviations et de passé un bon moment au chaud dans le canapé.
J'ai trouvé un excellent article (long mais complet) sur la belle Amélia Earhart (http://aerostories.free.fr/), le voilas, bonne lecture et bon film.
Raph

1 L'éveil de l'aviation
Malgré son air de garçon manqué et son allure dégingandée, on ne peut pas dire que celle qui resterait une des étoiles de l'aviation au féminin manquait de magnétisme. Comment résister au charme d'Amelia Earhart?

Et pourtant, cette enfant du Kansas n'avait pas manifesté un engouement précoce pour l'aviation. En 1907, de retour d'une fête où elle avait pu, pour la première fois, voir voler un avion, la jeune Amelia, alors âgée de dix ans, racontait: « C'était une chose faite de bois et de fil de fer rouillé et vraiment sans intérêt... » Les choses changeraient bientôt.

Quelques mois après leur arrivée en Californie, en 1920, son père et elle allèrent assister à l'un de ces meetings aériens dont les américains étaient déjà friands, à Long Beach. Son intérêt pour les avions s'éveilla et le lendemain, nantie d'un casque en cuir et de lunettes, elle monta à bord d'un biplan pour un vol de dix minutes au-dessus de Los Angeles. Ce fut un envoûtement. Elle déclara plus tard, se remémorant cet épisode: « Dès que nous quittâmes le sol, je sus que je deviendrais pilote! ».

Ayant pris des leçons de pilotage auprès d'Anita "Neta" Snook, elle fit l'acquisition d'un appareil, un Kinner Airstar qu'elle nomma "Canary" avec lequel elle eut de nombreux accidents. Il est vrai que les appareils de l'époque n'étaient pas d'une fiabilité exemplaire. Dès octobre 1922, elle battait le record féminin d'altitude, à 14 000 pieds (4270 m), record qui ne tint que quelques semaines. Toujours fantasque, sans doute un héritage de l'instabilité familiale dans laquelle elle avait vécu, elle vendit son avion en 1924 pour s'offrir une voiture de marque Kissel, qu'elle nomma "le péril jaune", et avec laquelle elle traversa le continent américain depuis la Californie jusqu'à Boston, en compagnie de sa mère. Un tel voyage, à l'époque, relevait sinon de l'exploit, du moins de l'ordre du peu banal.

Amelia Earhart, qui avait suivi des cours d'infirmière et exercé dans un hôpital militaire durant la Grande Guerre, prit un emploi d'assistante sociale, ce qui ne l'empêcha pas de s'inscrire à la section de Boston de la National Aeronautic Association, de se racheter un appareil et de continuer à voler, toujours à la recherche de nouveaux exploits à imputer à la gent féminine. Ses actions pour promouvoir le vol au féminin lui valut d'être évoquée de plus en plus fréquemment dans les colonnes des journaux, le "Boston Globe" affirmant qu'elle était l'une des meilleures femmes pilotes des U.S.A.

2 Le temps de la célébrité

C'est un simple appel téléphonique, le 27 avril 1926, qui fit basculer son existence vers la célébrité. À l'autre bout du fil, son interlocuteur, le capitaine H.H. Railey lui posait cette simple question: « Cela vous dirait-il d'être la première femme à traverser l'Atlantique en avion? ».
Cette idée émanait d'un éditeur new-yorkais, George Palmer Putman, qui jouera ultérieurement un rôle important dans la vie d'Amelia, la propulsant sur le devant de la scène. La traversée se fit quasiment sans histoire. Bien qu'on lui ait pompeusement attribué le titre ronflant de « commandant de bord », elle ne fut sur ce vol qu'une simple passagère. Elle fut un peu désappointée de se voir ainsi traitée en héroïne, recevant même les félicitations du Président Coolidge, alors qu'elle n'avait pris aucune part active à l'aventure
: elle prendra sa revanche.

Les années qui suivirent la virent effectuer des tournées de promotion de son livre, des courses aériennes, un vol transcontinental en sol de l'Atlantique au Pacifique et des campagnes de promotion pour la Transcontinental Air Transport (future TWA). Les relations de plus en plus proches de l'aviatrice de charme avec son Pygmalion devenant aussi publiques que ses exploits aériens, l'épouse de ce dernier le quitta en 1929 et l'éditeur put épouser Amelia en février 1931.

Amelia et George se mirent à réfléchir sérieusement à un nouveau vol transatlantique, mais qu'Amelia effectuerait cette fois en solo. George savait que d'autres aviatrices préparaient ce projet et que c'était ce meilleur moyen d'entretenir la popularité d'Amelia. Depuis le vol de Lindbergh en 1927, personne n'avait effectué la traversée en solitaire.

Le 20 mai 1932, exactement cinq ans après le vol du « Spirit of Saint-Louis », celle que Railey avait surnommée « Lady Lindy », en raison d'un ressemblance qu'il lui avait trouvée avec Charles Lindbergh, décollait de Terre-Neuve à bord d'un Lockheed Vega modifié pour la circonstance. Ne buvant ni café ni thé, Amelia avait emmené des sels de carbonate d'ammonium à inhaler en cas d'endormissement. Son seul viatique: une bouteille isotherme de potage et une boîte de jus de tomate. Le voyage ne se fit pas sans problème. Pour commencer, son altimètre tomba en panne alors qu'elle évoluait à 4000 m. Puis, en pleine nuit, elle dut essuyer une terrible tempête. Ce fut ensuite le givre qui commença à alourdir dangereusement son appareil. Seule solution pour s'en débarrasser: descendre pour trouver des températures plus clémentes. Mais sans altimètre, de nuit, la manœuvre est pour le moins hasardeuse... Enfin, au petit jour, "Lady Lindy" dut essuyer une nouvelle tempête, et faute de carburant, elle ne put poursuivre son vol jusqu'à Paris.

Lorsqu'elle se posa dans un champ prés de Londonderry, dans le nord de l'Irlande, elle demanda où elle se trouvait à un homme qui s'approchait. « Dans le pré de Gallegher, répondit celui-ci. Vous venez de loin? » La réponse d'Amelia s'imposait: « d'Amérique! ». Elle devenait la première femme à traverser l'Atlantique en solitaire en avion.

La gloire que lui valut cet exploit ne parvint pas à étancher sa soif d'aventure aérienne. À l'automne 1934, elle annonçait à son mari qu'elle préparait un vol de Hawaii à la Californie, puis jusqu'à la côte est. L'entreprise était périlleuse
: une dizaine de pilotes avaient déjà laissé leur vie dans cette tentative au-dessus du Pacifique. Elle effectua ce vol le 11 janvier 1935 sur un appareil qui était le premier avion civil doté d'un équipement radio. Un fois encore, son succès fut immense et c'est une foule innombrable qui l'accueillit à l'aéroport d'Oakland (Californie). Son exploit lui valut à nouveaux des félicitations présidentielles, de Roosevelt cette fois, qui mit l'accent sur la capacité des femmes à pratiquer l'aviation avec bonheur, ce qui dut sans doute plaire à «Lady Lindy ». En effet, sans être une réelle militante de la cause féministe, Amelia s'engageait volontiers dans des démarches visant à ouvrir toutes les carrières aux femmes.
Les mois qui suivirent la virent reprendre ses tournées à travers le continent nord-américain... en attendant de nouveaux exploits.

3 le tour du monde

Le projet suivant d'Amelia ne manquait pas d'ambition: rien moins qu'un tour du monde! Le challenge était de taille, même si en quelques années la technologie de l'aéronautique avait grandement évolué. Non seulement Amelia Earhart deviendrait la première femme à effectuer un vol autour du monde mais contrairement à ceux qui avaient déjà accompli cet exploit, elle ne se limiterait pas à l'hémisphère nord, ce qui raccourcissait grandement le parcours, mais suivrait autant que possible la ligne de l'équateur. Plus de 46 000 kilomètres!

Pour une telle entreprise, Amelia se tourna vers un Lockheed Electra que finança l'université de Purdue (Indiana). Quant au navigateur, il ne s'agissait pas vraiment d'un novice
: l'irlandais Frederick J. Noonan était un ancien navigateur de la Pan American Pacific Clipper doté d'une solide expérience de l'Océan Pacifique qui était la principale difficulté du vol.

Ce qu'on peut appeler un "faux départ" eut lieu le 17 mars 1937. L'Electra décolla de Oakland (Californie) pour se rendre à Honolulu, dans le îles Hawaii, attaquant le tour du monde par l'ouest. Ce fut au décollage pour l'étape suivante qu'un incident majeur se produisit, vraisemblablement dû à une erreur, amenant l'Electra à glisser sur le ventre, sévèrement endommagé. L'appareil fut rapatrié en Californie pour réparations. Le raid circumterrestre se voyant repoussé dans l'année, les conditions météo se trouveraient changées. Il fut donc décidé de repartir cette fois par l'est.

Le 1er juin 1937, Amelia et Fred décollaient à nouveau de Californie, cette fois en sens inverse. Oakland, Tucson, New Orleans, Miami, le continent nord-américain était bouclé. Ce fut ensuite le vol jusqu'à la pointe est du continent sud-américain, via les Caraïbes, pour rejoindre Natal et la "Ligne" défrichée quelques années plus tôt par
Mermoz et ses compagnons de l'Aéropostale. Sans doute, en route vers l'Afrique, Saint-Louis du Sénégal et Dakar, Amelia Earhart et Fred Noonan ont ils eu une pensée pour l'équipage de la "Croix du Sud" disparus l'année précédente dans les eaux qu'ils survolaient. Puis ce fut la traversée du continent africain dans sa plus grande largeur, de Dakar à la Somalie, le sud de la péninsule arabique, l'Inde, avant que le parcours ne s'oriente vers le sud-est asiatique et l'Indonésie qui servirait de passerelle en pointillés avant de rejoindre le sous-continent australien.

À Bandoeng, sur l'île de Java (Indonésie), une pause plus longue fut nécessaire. La mousson contrariait le plan de vol. de plus, Amelia souffrait de plus en plus de troubles proches de la dysenterie et les appareils de navigation avaient besoin d'une sévère révision. Ce ne fut que le 27 juin que le périple put reprendre son cours en direction de l'Australie. À Darwin (Territoire du Nord), les deux aventuriers laissèrent leurs parachutes qui ne leur seraient d'aucune utilité au-dessus de l'Océan Pacifique.

Le Pacifique! 170 millions de kilomètres carrés. Un tiers de la surface de la planète. Il suffit de jeter un œil distrait sur une mappemonde pour évaluer l'immensité de cet espace liquide chichement parsemé d'îles aux dimensions réduites. Là se trouvait le "gros morceau" de l'expédition, celui par lequel Amelia et Fred Noonan avaient originellement pensé commencer.

Un "saut de puce" les mena de Darwin à Lae, en Nouvelle-Guinée. À ce point de leur périple, ils avaient couvert plus de 35 000 km. Il en restait encore plus de 11 000 à parcourir au-dessus de l'océan avant qu'ils ne reposent le pied en Californie. Le reste du parcours était d'une rare simplicité: joindre Howland, minuscule îlot situé quasiment à l'intersection de l'équateur et de la ligne de changement de date, puis Hawaii enfin la Californie.

L'U.S. Coast Guard avait dépêché à proximité de l'île de Howland l'un de ses bâtiments, l'Itasca, afin qu'il puisse établir un contact radio avec Amelia Earhart. L'avion quitta la Nouvelle-Guinée le 2 juillet 1937 à zéro heure GMT, avec 3800 litres de carburant, de quoi tenir l'air de 20 à 21 heures. À 7h20 GMT, Amelia indiqua une position qui la situait à environ 32 km au sud-est des îles Nukumanu. Fait à noter, qui alimentera plus tard bien des discussions, il n'y a aucun témoignage quant à la route suivie par l'Electra
:personne ne vit ni n'entendit passer l'avion. L'Itasca reçut ensuite différents messages radio, d'une puissance variable, mais sans pouvoir en repérer l'origine par goniomètre, en raison de leur brièveté. Par ailleurs, l'Itasca était submergé par un important trafic radio que l'événement avait généré auprès de compagnies commerciales.

À 19h30 GMT, l'Itasca recevait fort et clair le message suivant: « KHAQQ calling Itasca. We must be on you but cannot see you... Gas is running low »
(« KHAQQ à Itasca. Nous devrions être au-dessus de vous, mais nous ne vous voyons pas... Le carburant commence à baisser. »

À 20h14 GMT, l'Itasca recevait un dernier message radio d'Amelia Earhart qui indiquait sa position. L'Itasca continua à émettre sur toutes les fréquences jusqu'à 21h30 GMT, heure à laquelle il parut évident que l'Electra s'était abîmé dans les flots et qu'il s'avérait nécessaire de commencer les procédures de recherche en mer.

Certains experts avaient avancé que les réservoirs vides maintiendraient l'appareil à flot pour une période suffisamment longue et le Président Roosevelt envoya 9 bâtiments et 66 avions à la recherche des infortunés aviateurs. En vain. Le 18 juillet, les recherches cessèrent. Seul George Putman s'entêta jusqu'au mois d'octobre. La U.S.Navy avança une version officielle: l'appareil se serait abîmé dans les flots à environ 120 miles au nord-ouest de l'île Howland, vers 23h00.

Amelia Earhart et Fred Noonan avaient disparu sans laisser aucune trace dans l'immensité de l'Océan Pacifique.

4 Amélia où est tu ?

Chaque fois qu'une figure emblématique disparaît sans laisser de trace, cette disparition semble tellement incongrue au public qu'une foule d'hypothèses se font jour.
Aux Etats-Unis, encore à ce jour, nombreux sont ceux qui ne peuvent admettre qu'Amelia Earhart s'est simplement perdue et abîmée en mer. Certains continuent encore des recherches dans d'autres directions.
Parmi les hypothèses avancées, certaines frisant le farfelu, citons:
- "Lady Lindy" et Fred Noonan auraient été chargés de photographier les installations auxquelles procédaient secrètement les japonais sur certaines îles du Pacifique. Ils auraient été abattus par la D.C.A. nippone.
- Amelia aurait été capturée par les japonais et obligée à diffuser des émissions radio visant à démoraliser les G.I. pendant la Seconde Guerre Mondiale sous le pseudonyme de "Tokyo Rose". Des GI auraient pu attester de sa présence à Saipan avant l'arrivée des troupes américaines.
- Elle aurait sciemment jeté son appareil dans les flots. (Notons que l'on prête ce comportement suicidaire à Saint-Exupéry).
- Elle aurait vécu quelques années dans le Pacifique sud avec un pêcheur autochtone sur l'île de Nikumaroro où elle aurait fait un atterrissage de fortune.
- On a retrouvé en 1961à Saipan des ossements que l'on identifia comme ceux d'Earhart et de Noonan. En fait, les restes de natifs de l'île.

N'oublions pas que si le Lockheed Electra était un appareil d'exception, les instruments de navigation n'avaient pas atteint un niveau de précision et de fiabilité très élevés et qu'ils avaient posé de nombreux problèmes tout au long du périple. S'il y a un authentique fait troublant, c'est que l'Itasca a effectivement reçu un message radio fort et clair, indiquant que l'appareil était vraiment très proche. Cela dit, Howland, dans l'immensité de l'Océan Pacifique, c'est une tête d'épingle. Et si Amelia Earhart et Fred Noonan s'étaient simplement perdus, frôlant sans la voir l'île Howland, continuant leur route, et qu'à court de carburant, ils se soient abîmés dans les flots?

vendredi 15 octobre 2010

crash planeur






Bonjour, Philippe m'a fait passé une série d'image du crash d'un planeur grandeur !!!
Raph

dimanche 10 octobre 2010

Vous auriez du venir ................





















A la une: un Piper J3 qui ne voulait pas ce poser

Bonjour, ok le vent de nord ouest ne facilitait pas les atterrissages, mais il faisait chaud, et les lumières d'automne sont très douce. Vous n'êtes pas venu: tant pis pour vous.
Bon qu'a t'on vu ce samedi après midi?
Philippe A, nous a fait un atterrissage verticale après un remorquage à la verticale avec un modèle un peu particulier.
Jacques a fait volé un piper J3 ex Dominique au mains de Pascal, cet avion n'avait jamais réussit à voler. Et bien cette fois il ne voulait plus se posé, Pascal a dut vider le réservoir pour caler le moteur. Enfin maintenant il vol.
Cyril venu en famille avait sont Extra 300.
Daniel et Hervé on fait un test de décollage sur chariot.
A ma demande, Hubert ma fait un passage plein badin vent arrière mais n'a pas réussit a tourner pour se posé, heureusement pas de bobo pour se planeur qui enchaîne les vols.
On a vus Gilles et Fabien en écolage, mais qui est l'élève?
A noté le passage de la famille Rizzi avec une belle Italienne.
De mon coté le PT 17 a reprit l'air avec une grande hélice qui lui procure une puissance correcte, par contre en 4 mn il a consommé 1,3 A !!!
Dimanche prochains c'est la journée de cloture de la saison Feurs Chambéon.
Bonne semaine à tous.
Raph


vendredi 8 octobre 2010

Petites annonces, T 34



Si il trouve preneur, je laisse partir mon T 34 Jamara, trop complexe pour moi.
180 euros sans le moteur mais avec tout les servos (2 trains rentrant, 3 futaba 3001 (roulement) 2 standart.
Si cela vous interesse: Raph 06 88 22 11 32 ou rmely@free.fr

mardi 5 octobre 2010

P 40 Suisse


Bonjour à tous, si je suis parmi vous les week end à essayé de faire voler des avions, c'est grâce à lui.
Non ne je ne parle pas de mon père mais de mon ami Suisse Pascal, fin pilote, d'hélico et de warbird(sachant très bien crasher ces modèles aussi), régulièrement il me passe des vidéos faite à sont club.
En voilas une du P 40 d'un de ces amis.
Les caractéristique de la bête sont:
Echelle : 1/5, envergure 2,38 metres, moteur 3w75, 11 servos, 15 kg !!! beau bébé non
A+ Raph

dimanche 3 octobre 2010

Le diaporama du samedi 2 octobre 2010


Re bonjour, comme promis voilas le petit diaporama sur la journée d'hier.
Merci à AC/DC pour la partie musicale.
Je peut vous faire une version musette si besoin, hein les papy!!!
Bon dimanche raph

Il faisait beau, sentait le sable chaud et le méthanol.........





























A la une: David et sont Vodoo,
Hubert et sont passage bas vent ar avec sont 4 mètres

Bonjour à tous, profitez en cela risque de ne pas durer !!!
Oui c'est comme nos verts en grande formes et toujours leader de la L1, le beau temps cela vas forcément se terminer.
Alors des belles après midi comme hier, il faut voler.
A condition d'avoir ces ailes, pas comme mon PT 17 avec ces dernière resté au garage,
A condition d'avoir un variateur en état, pas comme mon soaring star refait tout beau mais avec un vario cramé.
Pour résumé, beaucoup de monde au terrain et pas mal de belles choses.
David et sont vodoo, incroyable, une vitesse folle et une maîtrise du pilotage de très haut niveau.
Laurent avec un blizzard et une xéno c'est amusé avec Arax le chien de Jean Claude, pas de droit à l'erreur vu la dentition du toutou.
Hubert avec sont 4 mètres qui tient absolument à ce que je le casse (en me le faisant posé).
Georges avec un jet de fabrication maison (plan de magasine) avec sont départ catapulté.
Les 3 frères, Daniel, Dominique et Hervé qui font volez des 2 axes par tout les temps.
Fabien sont hélico et sont chien, bon anniv Fabien, 29 ans ce jour.
Jean Claude, Marcel, Philippe, Nicolas et les autres.
Bon regardez les photos cela cause mieux.
Raph
PS revenez dans la journée, je prépare un petit diaporama